Marrakech: La 51ème édition du festival national des arts populaires du 1er au 5 juillet

Le Festival national des arts populaires (FNAP) reviendra dans sa 51ème édition qui aura lieu du 1er au 5 Juillet prochain à Marrakech, après la crise sanitaire du Covid-19.

Tenue à l’initiative de l’association “Le Grand Atlas” en collaboration avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, cet événement se tiendra sous le thème “Chants et Rythmes éternels”.

Il ravira les amoureux des arts populaires à travers le Maroc et à l’international, après la crise sanitaire du Covid-19, ont annoncé, lundi, les organisateurs dans un communiqué.

Ce festival célèbre, depuis plus de 50 ans, les arts populaires à travers toutes les régions du Royaume, se positionnant comme une véritable action culturelle de préservation du patrimoine marocain. L’événement illustre aussi une forte conscience culturelle.

Au cœur du palais Badiâ, monument historique séculaire, œuvre Saâdienne du 16ème siècle, les arts populaires remettent le spectateur au fond d’une authentique fusion artistique fraternelle à travers les origines de tout à chacun. “Il s’agit véritablement d’une rénovation en profondeur d’un patrimoine aux multiples facettes artistiques et aux dimensions sociales et spirituelles”, souligne le communiqué.

Dénominateur commun de ce riche héritage culturel et patrimonial, le festival restitue les confluences du gestuel et la noblesse du symbolisme qui s’y greffent à travers l’histoire de la ville et ses grands moments festifs.

Le festival national des arts populaires a su résister à travers le temps grâce à son impact émotionnel qui embrasse l’âme marocaine. Avec ses tonalités et couleurs chatoyantes, il a marqué et marquera le cycle vital de l’histoire grandiose du Royaume. Tout un héritage sous le créneau de l’originalité et la diversité.

“Organiser cette 51ème édition du festival national des arts populaires après la crise sanitaire de Covid-19 est plus qu’une promotion de la cité ocre et du patrimoine culturel national”, relève le communiqué, ajoutant que c’est un véritable défi du temps par l’authenticité des arts ancestraux qui demeurent encore plus vivants au fil des années.