Le Japon et la Belgique figurent parmi les pays qui ont affirmé l’importance de garantir la libre circulation dans la zone d’El Guerguarat, dans le sillage de la récente opération de sécurisation de ce poste-frontière entre le Maroc et la Mauritanie.
Tout en exprimant « le souhait de voir ce différend aboutir rapidement à une solution pacifique sur la base du dialogue entre les parties concernées », le Japon « apporte son soutien aux efforts déployés par les Nations unies, y compris dans le cadre des missions de la MINURSO », indique l’ambassade du Japon à Rabat.
Pour sa part, la Belgique estime «primordial de veiller à la liberté de circulation et des échanges transfrontaliers dans la zone d’El Guerguarat qui a un impact important sur toute la région du Maghreb et du Sahel, une région d’importance stratégique».
«La Belgique attache beaucoup d’importance aux accords de cessez-le-feu en place depuis 1991 et réitère son plein soutien aux efforts de la MINURSO à cette fin», a souligné lundi soir Sophie Wilmès, la vice-première ministre, ministre des Affaires étrangères de Belgique devant la Commission des Affaires étrangères de la Chambre des Représentants.