Collusion des réseaux anti-Maroc : quand l’AFP et El Pais s’alignent sur la Syrie et l’Algérie

 Depuis quelques jours, l’on assiste à une multiplication des attaques à l’encontre du Maroc, autour notamment de la publication d’un livre aux relents sensationnalistes. Ce dernier a reçu le soutien pour le moins surprenant du journal espagnol « El Pais », de l’agence de presse française « AFP », ainsi que de la principale agence Syrienne et du journal algérien « El Watan ». Cet alignement a de quoi surprendre à première vue, mais peut être en partie expliqué part la convergence d’intérêts communs entre tous ces médias. En effet, l’AFP n’est plus à un paradoxe près, et en suivant le principal journal syrien, elle démontre que sa rédaction est traversée par des courants qui rejettent la position de leader prise par le Maroc pour mettre un terme aux souffrances du peuple syrien. Autre « client habituel », le journal « El Pais », qui a grillé la politesse à ses confrères français en publiant les bonnes feuilles d’un ouvrage pourtant destiné à l’hexagone. Ainsi, le journal espagnol a fait tourner à pleins tubes ses services de traduction afin de produire dans son édition de dimanche des feuillets dont l’encre venait à peine de sécher. Comment ne pas voir dans cette précipitation et cette convergence de ton une main mystérieuse ? Cette dernière,  abritée derrière un paravent étranger, tisse les fils d’une étrange toile d’araignée dans laquelle se trouvent pris au piège un certain nombre de journalistes espagnols et français qui se sont érigés en chantre de la « Maghrébologie ». Cette vision post-coloniale, condescendante et exotique, représente ce qu’il y a de plus détestable dans les colonnes d’une presse par ailleurs respectable et mesurée. Comment donc exiger qu’un traitement équitable soit accordé au Maroc, et que puissent s’exprimer les courants qui ne partagent pas les idées de cet aéropage ? Le temps est probablement venu que chacun d’entre eux dévoile son véritable agenda, et que ceux  qui, dans leurs discours et conférences, affirment promouvoir la démocratie, cessent d’utiliser des méthodes issues de la guerre froide. Heureusement que la concordance de ton ainsi que les mots utilisés ont trahi l’identité du véritable auteur de cette campagne qui vise à fédérer les réseaux anti-Maroc autour d’une ambition commune : celle d’exister sur le terrain médiatique, à défaut d’avoir le courage de se lancer dans l’arène politique.

Car c’est là que réside la principale faiblesse de ces réseaux anti-marocains, ce qui les unit, c’est leur souhait de diriger le « ministère de la parole » au lieu d’avoir le courage de faire un travail de fond pour leur pays. Heureusement que le « marionnettiste » en chef est connu de tous et que personne n’est dupe…