La Commission des arbitres de la FIFA a annoncé la liste des officiels en charge des matchs de la Coupe du Monde Féminine U-17 (Maroc 2025), qui se déroulera du 17 octobre au 8 novembre prochains, comprenant 54 arbitres (18 arbitres et 36 arbitres assistants)
Ces arbitres qui officieront à la Coupe du Monde Féminine U-17 au Maroc, sont issus de 36 associations membres, a indiqué jeudi la FIFA dans un communiqué.
“Ces annonces sont toujours un plaisir pour moi, mais celle-ci a une saveur particulière. Le tournoi de cette année est la première des compétitions annuelles à se dérouler au Maroc au cours des cinq prochaines années, et la première édition avec 24 équipes participantes”, a déclaré Pierluigi Collina, président de la Commission des arbitres de la FIFA.
Le Maroc “accueillera la Coupe du Monde Féminine U-17 de la FIFA pendant les cinq prochaines années, et le pays affiche une telle passion pour le football féminin que nous avons hâte que le tournoi débute”, a affirmé, de son côté, Bibiana Steinhaus-Webb, responsable de l’arbitrage féminin à la FIFA.
Ce tournoi sera marqué par l’utilisation du Football Video Support (FVS), suite aux essais mis en œuvre l’année dernière lors de la Coupe du Monde Féminine U-20 de la FIFA en Colombie et de la Coupe du Monde Féminine U-17 de la FIFA en République dominicaine. Ils sont le résultat de nombreuses demandes des associations membres de la FIFA pour une manière alternative et économique d’utiliser la technologie pour soutenir les arbitres, précise le communiqué.
Contrairement au système d’assistance vidéo à l’arbitrage (VAR), le FVS ne fait pas appel à des arbitres vidéo dédiés et ne vérifie donc pas tous les incidents susceptibles de modifier le match. La responsabilité incombe aux entraîneurs respectifs, qui sont autorisés à effectuer un nombre limité de demandes de vérification par match lorsqu’ils estiment qu’une erreur manifeste a été commise lors d’incidents susceptibles de modifier le match, tels que des buts, des décisions de penalty, des cartons rouges directs ou des erreurs d’identité. Les joueuses peuvent également recommander à leurs entraîneurs de demander une vérification.