Casablanca Finance City (CFC) classée 2ème en Afrique dans le Global Financial Centre Index de Londres (GFCI), a obtenu le «Grand Prix des bâtisseurs de l’économie africaine», en guise de reconnaissance des performances réalisées en tant que place financière internationale.
Cette nouvelle consécration a été décernée à CFC le jeudi 30 avril à Abidjan, la capitale économique de Côte d’Ivoire. Pour rappel, CFC avait déjà obtenu le prix du «Middle East Capital Markets Summit & Awards» de Dubaï en octobre 2014.
Dans le dernier classement mondial des places financières établi par GFCI, indice de référence, Casablanca Finance City Authority occupe la 62ème place mondiale parmi les 83 centres financiers internationaux.
Dans le continent africain, le hub économique et financier casablancais est devancé par la seule place de Johannesburg qui occupe cette année le 50ème rang mondial.
Le prix a été remis à Saïd Ibrahimi, CEO de la place financière de Casablanca par le président de la Banque africaine de développement (BAD), Donald Kaberuka lors d’une cérémonie organisée à Abidjan à l’occasion de la sixième édition de ce prix dédié aux « success stories » en Afrique.
Plus de 300 officiels, CEO, chefs d’entreprises, opérateurs économiques africains et internationaux, dirigeants d’ONG, venus des quatre coins d’Afrique, ont participé à cette édition du Grand Prix des bâtisseurs africains. Elle a été consacrée aux «défis de la croissance durable et inclusive» auxquels est confronté le secteur privé en Afrique.
Les débats se sont focalisés sur le rôle attendu du secteur privé dans l’intégration économique de l’Afrique, les stratégies pour l’éclosion de jeunes promoteurs africains, les défis de la réussite et du partage et l’entrepreneuriat féminin.
Le prix décerné à CFC vient donc conforter le positionnement de Casablanca en tant que pôle économique et financier en Afrique et porte d’entrée pour les investissements étrangers orientés vers les marchés africains en pleine croissance. La distinction africaine de CFC contribuera en même temps, à l’amélioration de l’image de marque du Royaume en tant que partenaire économique de poids en Afrique et acteur reconnu de la coopération sud-sud.