Le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, s’est entretenu, mercredi à Rabat, avec le président du Groupe de la Banque mondiale, David Malpass, une entrevue destinée à mettre en avant la qualité des relations liant le Royaume au Groupe de la BM, et à examiner les moyens de promouvoir la coopération entre les deux parties et accompagner les stratégies et les programmes élaborés par le Maroc.
Cette rencontre s’est déroulée en présence de la ministre de l’Économie et des Finances, Nadia Fettah Aloaui, la directrice du trésor et des finances extérieures, Faouzia Zaaboul, le vice-président de la Banque mondiale pour la Région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Ferid Belhaj, le directeur pays pour le Maghreb et Malte à la Banque mondiale, Jesko Hentschel et le directeur de la Société financière internationale (IFC) pour le Maghreb, Xavier Reille.
La rencontre a, en outre, permis de discuter de la conjoncture internationale marquée par des initiatives pour une relance économique, tout en faisant face aux répercussions de la pandémie et la hausse des prix au niveau mondial.
A cette occasion, David Malpass a réitéré l’engagement du Groupe à accompagner le développement économique et social que connaît le Maroc, soulignant que le Royaume dispose des « moyens nécessaires pour sortir de cette crise ».
Le président du Groupe mondial s’est, de même, félicité de cette rencontre fructueuse, relevant que « c’était une occasion pour discuter des défis majeurs qui devraient être traités en urgence, notamment l’inflation et les prix des matières premières et de l’énergie ».
De son côté, Aziz Akhannouch s’est dit fier de « ce partenariat stratégique » avec la Banque mondiale visant à accompagner le développement économique et social du Royaume, et passé en revue les grands chantiers structurants de l’économie nationale ainsi que les différentes réformes entamées au préalable.
Le Chef de gouvernement a, en outre, réaffirmé la détermination du Royaume à poursuivre la mise en œuvre d’un ensemble de mesures visant à réduire les répercussions de la pandémie, à stimuler l’investissement privé et à relancer l’économie nationale.