Lors d’une réunion à Alger avec des représentants Haut conseil des droits humains (HCDC), les ONG ont évoqué « les violations des libertés, le musellement de la presse et les conditions difficiles des détenus d’opinion » en Algérie.
Selon le média « Le Matin d’Algérie », Atmane Mazouz, président du Rassemblement pour la culture et la démocratie, a dressé un constat alarmant sur la situation des droits de l’Homme en Algérie, évoquant « les harcèlements policiers et judiciaires que subit lui-même ainsi que son parti ».
« Un seul journaliste était présent, il a courageusement soulevé la situation des libertés de la presse et l’emprisonnement des journalistes », rapporte le média.
Il a déploré « les pressions qu’il subit et l’interdiction de quitter le territoire qui le vise », mettant l’accent sur l’épineux problème des interdictions de quitter le territoire qui vise un nombre « difficile à vérifier » de citoyens.