Europa League: La presse ne tarit pas déloges sur « l’exceptionnel » Yassine Bounou

La presse sportive espagnole et européenne ne tarit pas d’éloges sur la prestation « exceptionnelle » du portier marocain du FC Séville, Yassine Bounou, après la victoire de son équipe contre l’AS Rome, lors de la finale de l’Europa League, mercredi soir à Budapest.

FC Séville a remporté la Ligue Europa aux tirs au but (4 tab 1, 1-1 a.p.). Bounou a stoppé deux penaltys de l’AS Rome.

Le ‘’miracle’’ du FC Séville porte un nom : Yassine Bounou, décisif lors de la rencontre et ‘’majestueux’’ lors des penaltys, soulignent les quotidiens spécialisés espagnols.

‘’Il n’y a pas d’exploit sans miracle. Il n’y a pas de victoire sans héros et FC Séville a son héros, Yassine Bounou’’, écrit le quotidien Marca, ajoutant que les interventions ‘’irréelles’’ de l’international marocain, notamment lors des dix dernières minutes du temps réglementaire, ont évité la défaite des Sévillans.

‘’A Budapest, c’était l’heure des héros et des courageux et Bounou était héros et courageux », souligne, de son côté, le journal sportif AS, précisant que tout au long du match et des penaltys, Bounou a fait preuve d’une ‘’sérénité et d’une assurance inédites en finale d’une Coupe d’Europe’’.

‘’Un Bounou majestueux offre à Séville une septième Europa League’’, écrit, pour sa part, la première radio espagnole Cadena Ser, relevant que le gardien de but marocain a dominé la rencontre et donné de la ‘’sérénité’’ à son équipe dans les moments les plus difficiles de la rencontre.

Avec ses arrêts ‘’incroyables’’, Bounou a changé le destin de la finale et offert à FC Séville son septième étoile.

Déjà auteur d’une grande Coupe du monde avec la sélection du Maroc au Qatar, le portier Yassine Bounou a de nouveau enfilé ses habits de “héros” et participé à offrir un septième sacre au Séville FC en Ligue Europa, commente jeudi, la chaîne “RMC Sport” sur son site internet.

Pour la chaîne, il s’agit de “l’apothéose d’une saison remarquable” pour l’international marocain après le parcours “historique” des Lions de l’Atlas lors de la dernière Coupe du monde, avec une qualification en demi-finale.