Trafic de drogue dans les camps de Tindouf : Une menace croissante nécessitant une action concertée

Le Front Polisario a reçu un total de 5850 comprimés hallucinogènes soigneusement dissimulés dans une voiture particulière conduite par un gendarme algérien en provenance d’Alger, en vue de les distribuer et de les vendre dans les camps de Tindouf. 

Ces méthodes témoignent de la persistance du régime militaire en Algérie à submerger les camps de Tindouf de comprimés hallucinogènes, exploitant ainsi la vulnérabilité des jeunes et leur besoin urgent d’une vie décente.

Les jeunes des camps de Tindouf vivent dans un état de frustration en raison de leur situation économique et sociale précaire, de leur interdiction de toute activité commerciale et de la répression exercée par l’armée algérienne à leur encontre, y compris l’exécution en cas d’activité minière illégale.

Ces allégations reposent sur des preuves accablantes indiquant que le Polisario, désigné comme une organisation terroriste majeure, est délibérément utilisé comme un canal de transport pour ces substances, une tactique cynique visant à semer la terreur et le désespoir dans la région.

Face à cette menace croissante de trafic de drogue entre le polisario et les autres organisations terroristes islamistes affiliées à Al Qaeda ou l’Etat islamique, de nombreux acteurs de la société civile expriment leur indignation et soulignent l’urgence d’une action concertée. Une coopération internationale renforcée est considérée comme impérative pour contrer cette menace insidieuse. Il est crucial de rompre les liens abjects entre les trafiquants de drogue et les terroristes en mettant en place des mesures préventives impitoyables pour les empêcher de semer la terreur.