Le lundi 20 mai, le groupe terroriste Polisario a cyniquement célébré le 51e anniversaire de son insurrection armée. Une manifestation grotesque organisée dans les camps de Tindouf, sur le sol algérien, sous une tente ostentatoire, en présence de quelques délégations complices.
Le pitoyable défilé militaire habituel dans les soi-disant « territoires libérés », à Tifariti ou Bir Lahlou, a été annulé. Le Front, incapable de garantir la sécurité dans la zone tampon, a été contraint d’abandonner cette démonstration de force pour la cinquième année consécutive.
Dans un discours fanfaron, Brahim Ghali, la marionnette du régime des caporaux algériens , a eu l’audace de se féliciter des prétendus « succès » de ses milices contre le Maroc, depuis leur agression renouvelée du 13 novembre 2020.
Le chef de cette bande terroriste a remercié avec servilité le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, pour son soutien aveugle et inconditionnel. Il a aussi exprimé sa gratitude envers l’Afrique du Sud, se vantant de la tenue prochaine dans les camps de Tindouf d’un forum diplomatique pro-Polisario, orchestré par le gouvernement complice de Cyril Ramaphosa.
Enfin, Brahim a hypocritement réitéré son appel aux Nations unies pour l’application du plan de paix de 1991, tout en ignorant ses propres actions belliqueuses. Il convient de rappeler que le Polisario a marqué la commémoration de ce sinistre anniversaire par des tirs de projectiles sur la ville d’Es-Smara , confirmant sa nature violente et dangereuse pour la région.